À vélo, pour ne pas tomber, je pédale et, subséquemment, j’avance (je pédalerais) : mes cuisses chauffent puis, quand j’affronte une côte pentue, elles brûlent, chaud. Je fort respire, mon cœur bat vite, j’entends le monde, je sens ce corps vivant qui est le mien, frénétique créateur de pensées.